Les Abénakis
s’unissent pour appuyer la famille et la communauté de Joyce Echaquan dans
cette terrible épreuve. Ainsi, la Nation Waban-Aki annonce son appui financier
dans les démarches judiciaires qui seront entreprises suite à la période
douloureuse de deuil.
En effet,
après que la famille de la défunte ait affirmé sa volonté d’obtenir justice, et
ce avec raison, la Nation Waban-Aki a choisi d’appuyer respectueusement cette
démarche. Bien qu’un tel appui financier ne pourra malheureusement pas alléger
la douleur et la colère de la famille, nous tenons à leur apporter notre
soutien dans leur démarche vers la justice. Au moment souhaité par la famille,
le Grand Conseil de la Nation Waban-Aki (GCNWA) se fera un honneur de discuter
avec celle-ci afin de considérer leurs besoins et planifier l’appui.
« Nous
témoignons toutes nos sympathies à la famille et la communauté Atikamekw. Nous
sommes tous choqués par un tel drame que nous ne pouvons laisser sans action.
Action en justice, poursuite au criminel, enquête du coroner, il est d’une
importance capitale que justice soit rendue. » Affirme catégoriquement Denys
Bernard, le directeur général du GCNWA.
Daniel G.
Nolett, directeur général du Conseil des Abénakis d’Odanak abonde dans le même
sens : « Nous sommes attristés par ce drame inacceptable et croyons fermement
que justice devra être rendue. Nos pensées sont avec la famille et la
communauté. »
En toute solidarité, nous espérons que ce drame puisse enfin
signer la fin d’une époque inacceptable.
Nous tenons à vous aviser que les prochaines
séances d’audiences du Tribunal en lien avec les dossiers de revendications
particulières de la Nation W8banaki seront uniquement VIRTUELLES et se
dérouleront du 29 septembre au 2 octobre ainsi que du 5 au 9 octobre 2020.
Voici tous les détails techniques pour assister aux séances :
Grâce à une association entre l’Institution Kiuna, seul centre d’études collégiales destiné aux Premières Nations au Québec, et l’Université Saint-Paul, située à Ottawa, les diplômés et diplômées du programme Sciences humaines – profil Premières Nations (300.B0) de Kiuna auront la possibilité d’accéder au B.A. spécialisé en innovation sociale de l’Université Saint-Paul.
La reconnaissance des unités permettra aux étudiants d’obtenir, en quatre ans, un diplôme d’études collégiales et un baccalauréat.
En joignant leurs efforts, l’Institution Kiuna et l’Université Saint-Paul s’engagent à encourager l’excellence en éducation, à offrir des possibilités de formation pratique, à accroître l’accès aux programmes d’études postsecondaires en français et en anglais et à assurer la mobilité entre les établissements.
«Cette association s’inscrit dans notre mission de favoriser chez nos étudiants le leadership et la persévérance, et reflète notre volonté d’assurer un continuum de services éducatifs de qualité qui tient compte de leurs aspirations, de leurs réalités et de leur culture», a déclaré Prudence Hannis, directrice de l’Institution Kiuna.
«Nous sommes très heureux de nous associer à Kiuna pour cette nouvelle entente d’arrimage», a ajouté Chantal Beauvais, rectrice de l’Université Saint-Paul. «Ce partenariat marque une étape importante alors que nos établissements travaillent ensemble pour appuyer les étudiants et étudiantes autochtones dans la réalisation de leurs objectifs universitaires et de leurs aspirations futures.»
Les deux établissements souligneront ce nouveau partenariat à l’occasion de l’inauguration, plus tard cette année, d’un nouveau centre pour les étudiants autochtones à l’Université Saint-Paul.
En février 2012, les
Premières Nations des Abénakis d’Odanak et de Wôlinak déposaient devant le
Tribunal des revendications particulières les trois (3)
dossiers apparaissant ci-dessous :
SCT-2001-11 : Odanak et le régime seigneurial
(1635-1863) ;
SCT-2002-11 : La seigneurie de
Bécancour : les limites originales (1647-1941) ;
SCT-2003-11 : La cession des 38 lots dans le
Domaine des Abénakis de Saint-François (1858-1884).
Les audiences seront publiques
et viseront à entendre les témoins experts qui ont été retenus par les parties.
Les audiences du Tribunal débuteront le mercredi 9 septembre 2020 à 9h15. Elles auront d’abord lieu en mode virtuel sur la plateforme « Zoom » au lien suivant : https://us02web.zoom.us/j/85744090750
À noter que le lien Zoom sera différent pour chaque bloc de
témoignage. Nous veillerons à
diffuser le nouveau lien sur nos réseaux sociaux dès que nous possèderons
l’information.
Les journées d’audition pour le premier bloc de témoignages sont
les suivantes :
Du 9 au 11 septembre 2020 ;
Du 14 au 16 septembre 2020.
À moins de changements ponctuels, l’horaire d’audience sera le
suivant :
De 9h30 à 12h30, avec une pause de 10-15 minutes
De 14h à 16h30, avec une pause 10-15 minutes
Les participants à la conférence Zoom devront désactiver leur
caméra et leur microphone lors de la connexion. Lorsque les participants se
connecteront, ils seront d’abord dirigés dans une « salle
d’attente ». Par la suite, le greffier leur permettra de rejoindre la
conférence. Si un participant se connecte en cours d’audition et non avant le
commencement ou pendant une pause, il est possible que cela prenne un certain
temps avant qu’il puisse rejoindre l’audition puisque le greffier attendra un
moment opportun pour accepter le participant afin d’éviter toute distraction en
cours d’audition.
Les audiences en
personne reprendront dès le 29 septembre 2020 au Musée des Abénakis à
l’adresse suivante : 108, rue Waban-Aki, Odanak (Québec).
Toutefois, en raison
des règles de distanciation physique en vigueur, un nombre limité de personnes
pourra assister à l’audience. Pour cette raison, les audiences seront également
retransmises en direct sur l’application « Zoom ». Le port du
masque sera requis pour les personnes qui seront physiquement présentes aux
audiences.
Vous pouvez consulter les documents suivants pour en connaître davantage sur les audiences à venir :
Veuillez aussi prendre note que l’ensemble de la documentation procédurale liée à ces revendications se retrouve sur le site internet du Tribunal des revendications particulières à l’adresse suivante : https://www.sct-trp.ca/
Kwaï chers membres de la Nation, Nous vous invitons à l’assemblée générale annuelle du comité de chasse et pêche abénakis. Plusieurs sujets y seront abordés pour lesquels nous souhaiterions obtenir l’avis des détenteurs de permis de chasse, pêche et piégeage abénakis. À l’endos de cette lettre, vous trouverez le projet d’ordre du jour associé à cette rencontre. Le port du masque et la désinfection des mains seront obligatoires à votre entrée. Nous vous demandons également de bien vouloir respecter la distanciation sociale.
Quand : Samedi 12 septembre 2020, 10h
Où : Salle communautaire d’Odanak, 58 rue Waban-Aki, Odanak, J0G 1H0
À propos du comité de chasse et pêche abénakis Le comité de chasse et pêche abénakis est un comité apolitique composé d’une dizaine de membres abénakis agissant à titre de bénévoles et ayant à cœur la poursuite des activités traditionnelles tels que la chasse, la pêche et le piégeage. Le comité a pour mandat de formuler des recommandations en lien avec la pratique de ces activités pour approbation auprès des conseils. Une fois approuvée, les recommandations sont alors acheminées au comité de suivi de l’entente de chasse, pêche et piégeage convenue entre la Nation et le gouvernement du Québec ou selon les sujets, le gouvernement du Canada. Il est possible de joindre le comité en tout temps.
Pour tous commentaires ou questions, veuillez communiquer avec Suzie O’Bomsawin au [email protected] ou au 819.294.1686.
Un article de Simon Roberge, initiative de journalisme local – La Tribune
Les visiteurs du Parc régional du Mont-Ham dans la municipalité d’Ham-Sud en Estrie ont l’embarras du choix pour découvrir l’histoire et la culture des Premières Nations qui ont parcouru le territoire pendant des milliers d’années. Ils peuvent visiter l’Espace Abénakis, parcourir le Sentier des légendes, admirer la statue Awdowinno au sommet de la montagne ou même louer un tipi pour y passer la nuit dans le secteur Waban-Aki. Ce partenariat entre le Parc et le Grand Conseil de la Nation Waban-Aki (GCNWA) est unique au Québec.
« C’est un bel échange, ça nous fait des infrastructures intéressantes et ça attire les touristes, explique Frédéric Therrien, coordonnateur du Parc régional du Mont-Ham. Pour les Abénaquis, ça fait connaître leur histoire. Tout le monde est content. C’est un partenariat ben le fun. »
Pour Denys Bernard, directeur général du GCNWA situé à Wôlinak près de Trois-Rivières, ce projet est un exemple de belles relations avec les Premières Nations.
« C’est un statement qu’on fait en disant que c’est notre territoire ancestral, mais qu’on le partage avec nos amis, mentionne-t-il. C’est unique ce qu’on fait. Il y a certaines communautés qui vont investir autour d’eux, mais on est à une heure d’auto et on a réussi à convaincre tout le monde. »
Une montagne d’importance
Le mont Ham avait une importance significative pour la nation abénaquise, selon Suzie O’Bomsawin, directrice du département des consultations territoriales au GCNWA.
« La région du mont Ham possède des vestiges archéologiques qui remontent à des milliers d’années, explique-t-elle. Il y a donc une présence autochtone. Et encore aujourd’hui, c’est un secteur utilisé par nos membres pour des activités traditionnelles comme la chasse et la pêche. On est vraiment capable de tracer une continuité d’utilisation par les membres de la nation. »
« Par contre, contrairement à d’autres monts dans les environs, on n’a pas trouvé son toponyme en langue abénaquise, ajoute-t-elle. Il s’est perdu au cours des années. Le mont Orford était un mont d’importance aussi et on n’a pas trouvé son toponyme non plus. »
Un sentier illuminé
Un grand projet se dessine peu à peu au Parc régional du Mont-Ham, celui de réaliser un sentier illuminé avec des hologrammes pour faire revivre l’histoire des Premières Nations.
« C’est embryonnaire, mais on veut faire un genre de Foresta Lumina complètement différent », explique Frédéric Therrien.
Pour Denys Bernard, qui est également membre du conseil d’administration du Parc régional du Mont-Ham, il est primordial que ce genre d’attraction parle aussi de la réalité d’aujourd’hui.
« Je ne veux pas juste voir des plumes dans ce projet-là, lance-t-il. Il faut faire quelque chose qui va parler du passé, mais aussi des Autochtones d’aujourd’hui. Les traditions, on peut les créer et ce qu’on crée aujourd’hui va faire partie du passé et de l’histoire un jour. »
Ce serait une attraction disponible l’hiver aussi pour attirer des touristes durant la saison morte. Car il est possible de monter au sommet de la montagne en plein hiver, mais avec des crampons.
« On a moins de monde l’hiver, mais ça augmente, admet M. Therrien. En janvier et février derniers, on a eu environ 1500 personnes chaque mois. »
Un sentier de ski de fond qui fait le tour de la montagne est également dans les plans.
L’Espace Abénakis est un centre d’interprétation au Parc régional du Mont-Ham mettant en valeur de la culture abénaquise.PHOTO LA TRIBUNE, JESSICA GARNEAU
40 000 visiteurs
L’an dernier le Parc régional du Mont-Ham a franchi pour la première fois le cap des 40 000 visiteurs. À titre comparatif, il y a six ans, le parc attirait environ 18 000 touristes par année.
Et malgré ou à cause de la COVID, l’année 2020 risque d’être la meilleure de l’histoire du parc.
« On a fini juillet avec plus de 20 000 visiteurs alors qu’on en avait eu 15 000 l’an dernier, mentionne Frédéric Therrien. Je pense qu’on va terminer l’année avec plus de visiteurs que l’an dernier. Il y a une fois et demie le nombre habituel de visiteurs sur le site. On a l’impression qu’on est toujours durant les couleurs à l’automne. »
Le projet Camping au sommet est déjà complet pour toute l’année 2020.
« À un moment donné, on va être rendu à limiter les gens, admet M. Therrien. Avec l’achalandage qu’on a en ce moment, je commence à réfléchir, parce qu’on ne veut pas avoir 4000 personnes par jour. On a mis en place la billetterie en ligne et notre but, c’est qu’on ne puisse plus acheter à l’accueil. Il y a des billets en ligne et s’il n’y en a plus, c’est terminé et tu ne viens pas au Mont-Ham. »
La Nation W8banaki ne reconnaît aucun chevauchement de territoire avec la Nation Huronne-Wendat
Le 18 août dernier, lors d’une séance du Bureau d’audiences publiques
sur l’environnement (BAPE) tenue à Thetford Mines, le Chef de la communauté
d’Odanak, M. Rick O’Bomsawin, s’est prononcé au nom de la Nation W8banaki sur
la position que cette dernière adoptait face au projet de la ligne
d’interconnexion des Appalaches-Maine d’Hydro-Québec. Étant situé au cœur du
Ndakina, le territoire ancestral de la Nation W8banaki, ce projet de ligne
électrique, tel qu’exprimé par M. O’Bomsawin, reçoit l’entier appui de la
communauté abénakise, mais à certaines conditions.
En effet, le Chef fut sans équivoque sur la question du positionnement
politique de la Nation W8banaki en lien avec les soi-disant chevauchements
territoriaux avec la Nation Huronne-Wendat. La Nation W8banaki n’accorde aucune
reconnaissance aux prétentions de la Nation Huronne-Wendat concernant les
secteurs du Nionwentsïo chevauchant le Ndakina. Advenant
le cas où cette position ne serait pas prise en considération par les
différentes instances, le message du porte-parole de la Nation W8banaki est
clair : « si une autre Nation revendique des droits sur ce territoire qui nous
appartient à 100%, y compris le Maine, nous allons bloquer le projet ».
Le 19 août 2020, Me Simon Picard, porte-parole de la Nation Huronne-Wendat dans le cadre de la séance quotidienne du BAPE, a affirmé que la Nation Huronne-Wendat souhaite que le BAPE reconnaisse l’occupation passée et actuelle de leur Nation au sein du territoire sur lequel se tiendra le projet de la ligne d’interconnexion. Toujours au nom de la Nation, il a également prétendu que les dirigeants de la Nation Huronne-Wendat étaient ouverts à discuter avec ceux des Abénakis. La Nation W8banaki tient à préciser que cette déclaration est erronée. En effet, au cours des dernières années, plusieurs tentatives ont été initiées par la Nation W8banaki afin d’aborder les prétentions territoriales huronnes-wendat. Une dernière correspondance a été envoyée à Wendake en octobre 2019 de la part de la Nation W8banaki afin de leur offrir l’opportunité de préciser officiellement leur territoire, correspondance qui n’aura finalement jamais eue suite. (Consultez cette lettre en cliquant sur le lien précédent.)
La Nation W8banaki tient également à invalider
l’argument apporté par Me Picard concernant le traité Huron-Britannique (traité
Murray) signé en 1760. En effet, toujours selon les dires de Me Picard, ce
traité démontrerait que la Nation Huronne-Wendat était établie sur le territoire concerné par les travaux du
projet d’Hydro-Québec. Cet argument n’a aucune valeur puisque ce traité n’a pas
de portée territoriale. Jusqu’à présent, aucune carte n’a été retrouvée pour
indiquer la portée territoriale de ce traité. Même chose pour le protocole sur
la consultation et l’accommodement convenu en janvier 2019 entre cette Nation
et le gouvernement fédéral. Le Fédéral ne reconnait pas de territoire ancestral
dans le cadre de tels protocoles, mais prend plutôt acte de la perspective
d’une Nation par rapport aux droits ancestraux ou issus de traités qu’elle
affirme détenir sur un territoire.
En résumé, la Nation Huronne-Wendat n’a, jusqu’à présent, pas été en mesure
de fournir les éléments requis afin de démontrer leur soi-disant occupation
dudit territoire. C’est pourquoi la Nation W8banaki considère leurs prétentions
comme une tentative de réécriture de l’histoire à leur avantage. La Nation W8banaki est absolument en désaccord avec
l’inclusion de la Nation Huronne-Wendat dans ce processus et réitère qu’elle
assume déjà très bien l’intendance de ce secteur du Ndakina.
C’est avec une grande tristesse que nous avons appris le décès soudain du Grand-Chef Joe Norton de la communauté mohawk de Kahnawake. En cette douloureuse circonstance, le Grand Conseil de la Nation Waban-Aki tient à saluer sa mémoire.
Le GCNWA présente toutes ses sympathies à la communauté mohawk de Kahnawake pour la perte de son Grand-Chef. Par le fait même, nous adressons nos plus sincères condoléances à la famille et aux proches du Grand-Chef Norton.
En tout respect et amitié,
Denys Bernard, directeur général du Grand Conseil de la Nation Waban-Aki
La MRC des Sources et le Grand Conseil de la Nation Waban-Aki ont concocté plusieurs projets dans les dernières années afin d’offrir aux visiteurs du Parc régional du Mont-Ham une expérience touristique au cœur de l’univers autochtone.
Les visiteurs du Parc régional
peuvent maintenant profiter d’une vaste gamme d’activités éducatives,
culturelles et de loisirs déployés un peu partout sur le site du parc. Ceux qui
graviront le sommet du Mont-Ham pourront se photographier avec Awdowinno, le
guerrier abénakis qui trône au sommet de la montagne. Il s’agit d’une œuvre
authentique réalisée par l’artiste Jean-Charles Tremblay. Lors de leur
ascension, les randonneurs sont invités à emprunter le Sentier des légendes, un
parcours d’activités de type cherche et trouve pour les familles. Plusieurs
panneaux d’interprétation de la culture abénakise ont également été disposés à
différents endroits dans le Parc régional. Une merveilleuse manière de profiter
du plein air tout en apprenant davantage sur cette Nation.
Finalement, les visiteurs peuvent
prolonger leur séjour au Mont-Ham en faisant la location de tipis d’inspiration
autochtone. Une expérience de camping en parfaite harmonie avec la nature et
les traditions ancestrales.
« Nous sommes heureux et fiers de contribuer à la mise en valeur du patrimoine abénakis et du développement du tourisme autochtone dans la région. Ce projet est une belle fenêtre d’opportunités pour soutenir le développement économique de la région des Sources tout en jouant un rôle éducatif auprès des visiteurs », souligne M. Denys Bernard, directeur général du Grand Conseil de la Nation Waban-Aki.
Les projets de mise en valeur de
la culture abénakise au Parc régional du Mont-Ham ont été rendus possibles
grâce au soutien de Développement économique Canada (DEC), du Secrétariat aux
affaires autochtones (SAA) du Grand Conseil de la Nation Waban-Aki et de la MRC
des Sources.
« Malgré le contexte actuel, nous
souhaitions offrir une expérience touristique renouvelée aux usagers du Parc
régional. Nous avons mis en place les mesures sanitaires permettant aux visiteurs
de profiter de leur escapade nature en toute sécurité », mentionne Jean Roy,
représentant désigné de la MRC pour les dossiers touristique et président de la
Corporation de développement du Mont-Ham.
Les gestionnaires du Parc régional encouragent les visiteurs à se procurer leurs billets et à réserver leur hébergement sur le site web du parc au www.montham.ca.
Le conseil d’administration de la Société historique d’Odanak annonce la nomination de Madame Julie Anne Tremblay à titre de directrice générale de l’institution.
Du milieu des arts de la scène à la muséologie, Julie Anne Tremblay travaille dans le milieu culturel depuis près de vingt ans. Titulaire d’une maîtrise en muséologie, elle a travaillé de 2009 à 2012 à Montréal et au Nunavik pour l’Institut culturel Avataq, un organisme qui a pour mandat de protéger et promouvoir la langue et la culture des Inuits. Depuis, elle a agi à titre de consultante dans le cadre de projets en muséologie, en plus d’assurer la gestion d’une entreprise touristique familiale.
« J’accorde une grande importance à la vitalité culturelle ainsi qu’au sentiment d’appartenance et à la fierté qui peuvent émaner d’une muséologie autochtone; à condition que celle-ci prenne réellement en considération les connaissances et les besoins des membres d’une communauté », affirme Julie Anne Tremblay.
« Nous sommes très heureux d’accueillir Julie Anne Tremblay au sein de l’équipe du Musée des Abénakis en tant que directrice générale. Forte de son bagage en muséologie et en contexte autochtone, nous sommes convaincus qu’elle saura permettre au Musée d’être davantage reconnu pour la qualité de ses expositions et la richesse de ses collections » souligne Suzie O’Bomsawin, présidente du Conseil d’administration de la Société historique d’Odanak.
Réouverture du Musée
À la suite de l’annonce du gouvernement du Québec permettant l’ouverture des musées, le Musée des Abénakis est heureux d’annoncer sa réouverture prochaine.
Le Musée ouvrira ses portes le 13 juillet. Après avoir repensé sa programmation ainsi que l’accès à ses expositions et ses espaces, l’équipe du Musée est prête à déployer son plan de réouverture. Celle-ci se fera de façon à offrir une expérience sécuritaire, amusante et enrichissante aux visiteurs passionnés de culture abénakise ainsi qu’à toutes les personnes qui souhaitent découvrir les savoirs et savoir-faire de cette Première Nation. Ils pourront visiter les expositions Wôbanaki : peuple du soleil levant, Tolakonutome ; elle raconte une histoire ainsi que Pemighassi 8jmow8gan ; fouiller l’histoire. Finalement, les visiteurs pourront compléter leur visite au Musée en découvrant le sentier Tolba, qui interprète la faune et la flore de la communauté abénakise d’Odanak.
Nous vous invitons à rester à l’affût au cours des prochaines semaines puisque de belles nouveautés sont à venir.
En respectant les recommandations émises par la Direction de la santé publique et les bonnes pratiques élaborées par le milieu muséal, le Musée a mis en place les mesures suivantes pour assurer la sécurité des visiteurs et de ses employés.es :
Le nettoyage des espaces et des surfaces est effectué fréquemment. À cet effet, le Musée n’admet aucun nouveau visiteur entre 13 h et 13 h 30 afin de faciliter le travail de désinfection ;
Un nombre limité de visiteurs est admis en même temps dans le Musée ainsi que dans les expositions pour s’assurer de respecter la distanciation requise. Les visiteurs devront également suivre le sens de visite préétabli ;
Le lavage des mains est obligatoire à l’entrée du Musée ainsi que de la boutique ;
Les méthodes de paiement électronique sont fortement recommandées ;
Le port du masque par les visiteurs est fortement recommandé ;
Des barrières protectrices ont été installées à la boutique ;
Les employés.es de la boutique Kiz8bak ainsi que les guide-animateurs.trices ont reçu une formation afin de bien s’approprier les mesures de protection pour mieux guider les visiteurs dans leur parcours.
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