Il y a un an Hydro-Québec annonçait au Musée des Abénakis qu’il lui octroyait une commandite de 24 000 $ pour permettre à plus de 500 élèves provenant de milieux défavorisés d’avoir accès gratuitement à des activités culturelles enrichissantes. Par le biais du programme éducatif scolaire, les élèves de dix écoles des régions de la Mauricie et du Centre-du-Québec auront l’opportunité d’enrichir leurs connaissances et de consolider les acquis développés à l’école. Ce forfait, d’une durée de 3h, inclut le transport en autobus ainsi que la découverte active des modes de vie de la Première Nation des Abénakis en suivant le cycle des 13 lunes.
La première institution qui a bénéficié de ce partenariat culturel est l’école primaire Saint-Dominique, de Trois-Rivières. Jeudi, le 4 mai dernier, 60 élèves de 3e et 4e année sont venus vivre une rencontre culturelle captivante au Musée des Abénakis. Ces derniers ont entre autres eu la chance de visiter l’exposition permanente du Musée Wôbanaki : peuple du soleil levant qui met en valeur les modes de vie traditionnels et les savoir-faire ancestraux des Abénakis, de devenir apprenti archéologues d’un jour et d’identifier des artéfacts trouvés à Odanak puis de fabriquer un collier perlé; un souvenir avec lequel les élèves sont retournés, sourire aux lèvres, à la maison.
Le Musée des Abénakis
Depuis 1965, le Musée assure la promotion du développement culturel de la Première Nation des Abénakis et la conservation de ses traditions millénaires. Ayant accueilli plusieurs milliers de visiteurs depuis son ouverture, le Musée est un lieu dynamique de diffusion et d’animation éducative et culturelle.
Le Musée des Abénakis est subventionné par le ministère de la Culture et des Communications et le Conseil des Abénakis d’Odanak.
Article paru dans La Tribune, écrit par Alain Goupil
(Sherbrooke) L’apport historique du peuple abénaquis sera coeur des activités du Centre culturel et du patrimoine Uplands de Lennoxville dans le cadre des fêtes du 150e anniversaire du Canada.
À compter du mois de mai et jusqu’à la fin de l’année, le Centre Uplands soulignera la présence des Abénaquis sur le territoire de Lennoxville par l’entremise d’un projet intitulé « De Nikitotegwasis à Lennoxville » grâce auquel les visiteurs pourront se familiariser avec l’art, la culture et les traditions du peuple abénaquis, dont la présence dans le nord-est de l’Amérique remonte à plus de 12 000 ans.
Selon les recherches historiques, Nikitotegwasis ou « petite rivière qui bifurque » servait aux Abénaquis à désigner le territoire actuel de Lennoxville.
Lors du dévoilement du projet, jeudi, au Centre culturel Uplands, le directeur du Musée des Abénakis d’Odanak, Mathieu O’Bomsawin, a rappelé que plusieurs fouilles archéologiques effectuées ces dernières années témoignent de l’occupation du territoire sherbrookois par la nation abénaquise.
« La région de Lennoxville et de Sherbrooke fait partie du territoire traditionnel des Abénakis, a-t-il rappelé. Les fouilles ont permis de mettre au jour des campements et des établissements ici même à Lennoxville. »
Selon M. O’Bomsawin, les Abénakis se sont servis du territoire à des fins commerciales, mais aussi à des fins diplomatiques avec les Canadiens français et anglais, avant de se replier petit à petit vers d’autres territoires. « Le projet de Nikitotegwasis à Lennoxville s’inscrit dans cette démarche de revenir aux sources, de revenir sur notre territoire traditionnel, d’échanger avec les gens et de faire la promotion de la nation abénaquise, de son héritage, de son apport et de sa culture. »
La directrice du Centre Uplands, Nancy Robert, a pour sa part indiqué que le projet aura plusieurs volets et ne sera pas confiné au Centre, situé sur la rue Speid : « Le projet va se déplacer dans les écoles et lors de la Journée de l’amitié. À Uplands, il va y avoir un jardin autochtone avec les trois serres. A l’intérieur, nous allons présenter une exposition d’art autochtone ainsi que sur le 150e anniversaire du Canada. Nous aurons aussi une exposition à l’extérieur à l’automne dans le cadre du mois de la photo, appelée « Régalia, fierté autochtone », qui se tiendra dans le boisé. Tout au long de l’année, il va y avoir des animations au cours de l’été. Les gens vont pouvoir assister à la fabrication de paniers abénaquis, contempler des oeuvres contemporaines et traditionnelles et entendre des contes autochtones »
La députée de Compton-Stanstead, Marie-Claude Bibeau, a annoncé que le projet a reçu une aide financière de 25 750 $ de Patrimoine Canada, puisque celui-ci s’inscrivait dans le cadre des fêtes du 150e.
« À l’occasion du 150e anniversaire du Canada, on souhaite mettre à l’avant-plan la diversité de nos communautés et l’importante contribution des peuples autochtones et c’est exactement ce que le projet d’Uplands propose », a-t-elle déclaré.
L’arrondissement de Lennoxville a contribué au projet à hauteur de 4000 $, auxquels s’est ajoutée une somme de 1500 $ de la part de la Fondation des Townshippers.
C’est depuis 1995 que le Québec célèbre officiellement le Jour de la Terre dans le but de diminuer son impact sur l’environnement. Toutefois, pour les Abénakis, ce respect de la nature et de la Terre Mère règne depuis des siècles déjà. C’est pourquoi, non seulement chaque 22 avril, mais également tout au long de l’année, les communautés abénakises d’Odanak et de Wôlinak s’engagent à respecter l’environnement en réalisant des gestes concrets sur leur territoire. En ce sens, leur dernière implication majeure fut l’acquisition d’une borne électrique pour chacune des communautés.
En novembre dernier, une toute nouvelle borne de recharge électrique faisait son apparition dans le stationnement du Grand Conseil de la Nation Waban-Aki de Wôlinak. Puis, il y a quelques semaines, c’était au tour du Musée des Abénakis, situé à Odanak, d’en posséder une. Il va s’en dire que ce projet est plutôt innovateur pour ces deux communautés périurbaines. C’est d’ailleurs leur proximité aux villes avoisinantes qui rend l’initiative encore plus intéressante puisque ces bornes sont accessibles à tous ceux et celles possédant un véhicule hybride ou électrique.
Il est intéressant de savoir que ces bornes de type standard font partie du vaste réseau FLO. Le réseau FLO donne accès à des milliers de bornes de recharge situés d’un bout à l’autre du Canada à tous ses membres et son coût d’approvisionnement s’élève en moyenne à 1$ l’heure.
Adaptation aux changements climatiques
Depuis le printemps 2015, Wôlinak et Odanak possèdent leur propre plan d’adaptation aux changements climatiques (PACC). Un tel plan vise à proposer des actions concrètes, c’est-à-dire des mesures d’adaptation, afin de permettre aux communautés d’être le moins possible impactées négativement par les changements de températures. Parmi ces mesures, nous y trouvons la réduction de l’émission de gaz à effet de serre afin de réduire l’impact humain sur l’environnement qui figure en priorité. C’est d’ailleurs dans ce cadre qu’une subvention a été obtenue grâce à Affaires autochtones et Nord du Canada afin de permettre la mise en place de bornes de recharge pour véhicules hybrides et électriques.
L’électrification des transports, un geste gagnant
Sachant que le secteur des transports est responsable à lui seul de 40% des émissions de gaz à effet de serre au Québec, dont la moitié provient des véhicules légers (MDDELCC, 2016), il va de soi que d’utiliser des voitures à faible consommation représente une solution de première ligne. C’est donc dans cette optique que les communautés se sont prévalues de
bornes de recharge, afin d’inciter leurs résidents à choisir ce mode de transport. De plus, la visibilité qu’apporte ce projet est non négligeable, puisque les stations seront accessibles à tous, ce qui inscrit Wôlinak et Odanak au circuit électrique du Québec (https://lecircuitelectrique.com/).
Un texte de Joanie Mailhot pour le Courrier Sud – La chapelle de Wôlinak a été construite en 2007 et avait, au départ, une vocation religieuse. Or, en 2013, le conseil de bande a entamé une réflexion dans le but de valoriser son utilisation et lui donner une connotation plus régionale et culturelle. Ce sera chose faite dans les prochains mois, dans le cadre du 150e anniversaire du Canada.
«Depuis 2013, on regarde vraiment à changer la mission de la chapelle parce qu’à cause de la connotation religieuse, on ne recevait que 4 à 5 événements par année. Disons que ça manquait un peu de vie et que le lieu n’était pas utilisé à son plein potentiel», soutient Dave Bernard, directeur général du conseil des Abénakis de Wôlinak.
Puis, les astres se sont alignés dans les derniers mois, à l’occasion du 150e anniversaire du Canada, célébré en 2017. C’est que Patrimoine Canada offre des subventions et du financement pour l’organisation d’événements et d’activités en lien avec cette célébration.
Le projet de la chapelle cadrait dans les critères et a ainsi été déposé au Fonds Canada 150. Patrimoine Canada a finalement octroyé une somme de 151 000$ pour le projet, qui totalise 205 000$. La balance sera assumée par le Conseil de bande. Il faut dire qu’une partie du projet comprend une mise à niveau de la chapelle, afin de mieux installer la nouvelle exposition qui y sera présentée.
«Patrimoine Canada ne subventionne pas ce qui est en lien avec l’infrastructure, donc la chapelle, mais plutôt le contenu de l’exposition, les salaires reliés à la mise sur pied du projet, etc.», mentionne M. Bernard.
Une exposition à saveur historique
Avant, à l’intérieur de la chapelle, il y avait une petite exposition d’objets religieux. L’an dernier, avec les fouilles archéologiques, se sont ajoutés les objets qui étaient retrouvés.
Cependant, avec la nouvelle exposition, on abordera une toute autre thématique. «Concrètement, on veut faire découvrir l’importance de la première nation des Abénakis de Wôlinak dans la grande histoire du Canada», résume l’historien Mario Marchand, chargé de projet.
À travers une perspective historique autochtone, l’exposition «Mémoire vivante, la rivière au long détour» lèvera le voile sur les véritables enjeux de la fondation de la mission de Bécancour en 1708 et donnera un aperçu de l’histoire des Abénakis de Wôlinak entre 1600 et 1760.
Il s’agira d’une exposition multimédia et interactive. En effet, on y retrouvera notamment des artéfacts historiques et archéoligiques, des murales illustrant le territoire ancestral des Abénakis et une reconstitution du paysage historique de la mission, ainsi qu’un court film d’animation qui présentera une vision globale du mode de vie et de la culture ancestrale des Abénakis de Wôlinak . L’ouverture de l’exposition est prévue le 21 juin, soit lors de la Journée nationale des Autochtones du Canada. L’exposition sera ouverte en permanence jusqu’au 2 septembre, mais les jours et les heures d’ouverture sont encore à déterminer. Pour ce qui est du reste de l’année, on envisage faire une approche auprès des groupes scolaires, entre autres.
La journée du 1er juillet sera aussi soulignée, pour célébrer la Fête du Canada et, du même coup, le 150eanniversaire de la Confédération canadienne.
Un lieu de mémoire
Mario Marchand estime qu’il n’y a pas vraiment de lieu de culture à Wôlinak. «On est surtout dans la culture orale; on n’a pas de véritable lieu de mémoire ou d’espace de commémoration», croit-il, ajoutant qu’avec les changements apportés, la chapelle deviendra ainsi un lieu de mémoire.
Dans la préparation de l’exposition, le conseil de bande souhaite faire participer les gens de la communauté et entend également impliquer les jeunes, notamment avec un concours de décoration de tipis, qui seront installés sur le terrain de la chapelle.
«La chapelle ne conservera donc pas sa connotation religieuse, sinon que la «coquille» de la bâtisse. Par contre, un portion de l’histoire de la mission est, en quelque sorte, liée à la religion», font valoir les deux intervenants.
Dave Bernard indique que le fait de miser désormais sur un espace culturel plutôt que religieux permettra plus facilement d’intégrer la chapelle dans un circuit touristique, par exemple.
Dans quelques jours se tiendra, pour une cinquième année consécutive, le Projet W. Cet événement, qui se veut à la fois artistique et environnemental, permettra aux jeunes participants, âgés entre 2 et 17 ans, de défiler sur la passerelle en portant fièrement leurs créations, fabriquées principalement à partir de matériaux recyclés.
En effet, le 22 avril prochain, dès 19h, les jeunes du Projet W présenteront la cinquième édition de leur défilé au Centre des arts populaires de Nicolet. Comme cette édition se déroule le soir même du Jour de la Terre, il allait de soi que les jeunes créateurs abénakis portent leurs propres créations fabriquées de manière à respecter le développement durable.
Tel que le mentionne Jenny M’Sadoques Benoit, coresponsable du Projet W, « cet événement a pour but de démontrer aux gens de la région le savoir-faire de ces jeunes ainsi que la conscience environnementale dont ils ont fait preuve tout au long du processus de création des vêtements faits à partir de divers matériaux recyclés. »
« Le défilé est une vitrine qui permet aux communautés de Wôlinak et d’Odanak de rayonner positivement au niveau régional », souligne Valérie Laforce, adjointe à la direction des services sociaux et responsable du Projet W.
Les billets sont actuellement en prévente au coût de 8$ au bureau du Grand Conseil de la Nation Waban-Aki, à Wôlinak, ainsi qu’à la salle familiale d’Odanak. Il sera également possible de vous en procurer à la porte le soir même du défilé, et ce, au coût de 10$.
Les différentes espèces en péril au cœur du projet
Pour une deuxième année consécutive, grâce à l’implication de Myriam Beauchamp, chargée de projets en changements climatiques au Bureau du Ndakinna du Grand Conseil de la Nation Waban-Aki, le projet W tentera de sensibiliser les participants ainsi que le public à une cause environnementale. Cette année, en plus de devoir respecter les objectifs du développement durable, le projet a comme préoccupation les différentes espèces en péril présentes au Québec, au Canada et à travers le monde. En tout, une vingtaine d’espèces connues et moins connues seront présentées au public lors du défilé grâce à divers objets promotionnels offerts sur place, à une vidéo et même grâce à la décoration de la salle.
Ce projet est une initiative du Service à l’Enfance et à la Famille des Premières Nations (SEFPN) du Grand Conseil de la Nation Waban-Aki, en collaboration avec le Bureau du Ndakinna.
L’Agence de la santé publique du Canada a des postes à combler pour cet été et peut-être à plus long terme!
La Direction générale de la santé des Premières nations et des Inuits (DGSPNI) de Santé Canada souhaite recruter des étudiants autochtones pour travailler à son bureau de Montréal.
Des possibilités sont offertes dans les domaines de l’administration, des finances, des communications, du service à la clientèle, des soins infirmiers, de la santé environnementale et publique et des politiques.
C’est une occasion à saisir pour obtenir un emploi d’été enrichissant et motivant, relié à votre domaine d’étude au sein de la fonction publique fédérale. Vous pourriez aussi devenir éligible pour un emploi dans la fonction publique lorsque vous aurez terminé vos études.
Si vous êtes intéressé(e), vous devez postuler en ligne au Programme fédéral d’expérience de travail étudiant (PFETE) en indiquant « Autochtone » dans la section auto-déclaration à l’équité en matière d’emploi.
Apprenez-en plus sur les programmes de recrutement à Santé Canada et à l’Agence de la santé publique du Canada en CLIQUANT ICI.
Amis et partenaires du Musée des Abénakis se sont réunis le 23 mars dernier pour participer à la sixième édition de son événement-bénéfice annuel. Grâce à la présence de la centaine de convives ainsi qu’à de nombreux commanditaires, le Musée des Abénakis est fier d’annoncer qu’il a amassé la somme de 29 000 $ qui permettra de contribuer à ses missions éducatives et culturelles.
À nouveau cette année, les participants de la soirée ont pu découvrir la richesse artistique et culinaire des Premières Nations et se sont plongés dans la culture contemporaine des Abénakis. Pour une sixième année consécutive, la découverte culinaire de la soirée a été confiée au chef Steve Bissonette du restaurant La Sagamité, situé à Wendake. Les invités ont entre autres pu apprécier des bouchées de tartare de wapiti, des brochettes de saucisses de bison et des croustillants de canard confit au rythme de la musique électro de Geronimo Inutiq, un DJ inuit, qui a su égayer la soirée.
Notre encan silencieux était également de retour – et sa réputation n’est plus à faire ! En effet, les 17 pièces d’artistes et artisans autochtones et allochtones proposées ont ravi l’ensemble des invités ; c’est près de 5 000$ qui ont été amassés grâce à l’encan ! En fin de soirée, des tirages de prix ont permis à 4 personnes chanceuses de remporter des forfaits escapades, dont un voyage à Essipit comprenant deux nuitées en condo ainsi qu’une croisière aux baleines, une nuitée à l’Hôtel-Musée des Premières Nations ainsi qu’un souper 5 services au restaurant La Sagamité pour deux personnes, deux nuitées en chalet EXP dans l’un des 5 parcs nationaux de la SÉPAQ ainsi qu’un iPad Air 2.
Le Musée des Abénakis tient à remercier chaleureusement tous ses partenaires – plus particulièrement ses commanditaires majeurs BLG, Desjardins, RBC et la SAQ – ainsi que ses convives, sans qui cet événement n’aurait pas connu un aussi grand succès !
Le Musée des Abénakis est subventionné par le ministère de la Culture et des Communications et le Conseil des Abénakis d’Odanak.
La communauté d’Odanak s’est de nouveau attiré les éloges de la Commission de toponymie.
Après avoir reçu un «Coup de cœur», en février dernier, pour la rue Waban‑Aki, qui signifie «peuple du soleil levant», le conseil s’est vu remettre un trophée du Mérite du français lors d’un récent gala de la Commission de toponymie.
Cette distinction fait suite aux démarches entreprises au cours de la dernière année. Le Conseil des Abénakis a approché la Commission afin de faire officialiser le nom des voies de communication situées sur son territoire. C’est la première fois que la Commission reçoit une telle demande de la part des représentants d’une communauté autochtone.
Comme la Charte de la langue française ne s’applique pas sur les réserves indiennes, aucun des noms désignant les voies de communication qui y sont situées n’avait à ce jour été officialisé. Les noms de lieux d’Odanak nouvellement approuvés disposent ainsi d’un générique en français et d’un spécifique en abénakis.
«Les toponymes sont des facteurs d’enracinement pour les citoyens que nous sommes et le travail de la Commission de toponymie veille à témoigner de notre présence sur le territoire québécois. Avec la remise du Mérite du français en toponymie 2017 à la Réserve indienne d’Odanak, notre organisme souligne admirablement la cohabitation entre nos cultures, ainsi que la richesse du patrimoine culturel et l’apport de cette communauté autochtone à notre toponymie», a souligné Robert Vézina, le président de la Commission de toponymie.
Le 23 mars prochain, le Musée des Abénakis présentera sa sixième édition de son cocktail-bénéfice. Ce cocktail dînatoire est une occasion unique de vivre une expérience artistique et culinaire des Premières Nations. Lors de cette soirée, des tirages et un encan silencieux seront proposés afin de permettre aux participants d’acquérir de très belles pièces d’artistes et d’artisans autochtones.
C’est à Odanak que se tiendra, les 28-29-30 mars prochains, la 17e édition de l’Expo-sciences autochtone – Québec 2017.
Sous le thème «Où les savoirs s’illuminent», cet important événement est une réalisation conjointe de l’Institution Kiuna et de l’Association québécoise autochtone en science et en ingénierie (AQASI).
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