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Online W8banaki resource directory

A Nation’s culture and traditions brought to light with a new 100% Abenaki web resource directory

The Abenaki of Odanak and Wôlinak Band Councils, in partnership with the Grand Conseil de la Nation Waban-Aki, are proud to announce the online publication of a W8banaki resource directory.

In addition to offering greater visibility to the Nation’s artists and artisans, the W8banaki (Abenaki) resource directory also represents a means to stimulate economic development. In this authentically Abenaki directory where each registration is validated through a meticulous admission process, the Nation’s arts and crafts will be promoted with the objective of encouraging the dissemination of its culture.

In addition to providing a platform to showcase their arts and crafts, members of the directory can be kept informed of relevant news, such as upcoming events and training. Visitors to the website will be able to verify the authenticity of what is presented. In a context where several organizations, festivals or educational institutions wish to call upon the various First Nations cultural actors present on their territory, this type of directory becomes a precious tool to ensure the authenticity of what is being conveyed.

Thanks to the digital agency ASBAN, artisans, artists and visitors will have access to this new tool. In a spirit of pride and community support, the initiators of the project have chosen to collaborate with this Abenaki business established in Odanak and specialized in several information technology sectors.

Whether you are a future member or simply a visitor, you can visit www.ressourcewabanaki.com. Enjoy your visit!

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Spectacle W 2023 : Un nouveau lieu, un nouveau concept, un même objectif (In French only)

C’est avec fébrilité et enthousiasme que les services sociaux N8wkika du Grand Conseil de la Nation Waban-Aki, en collaboration avec les conseils des Abénakis d’Odanak et de Wôlinak, annoncent qu’en plus d’innover avec un tout nouveau concept, la prochaine édition du Spectacle W sera présentée dans un lieu de diffusion différent des années précédentes. Fidèle aux dernières éditions, le Spectacle W demeure une occasion de rendre hommage à la Nation abénakise par la diffusion et la présentation de sa culture. Et c’est avec ce même objectif que le Spectacle W 2023 offrira une expérience renouvelée à ses spectateurs.

C’est au chaleureux Théâtre Belcourt de Baie-du-Febvre, le samedi 27 mai prochain, que les membres des communautés abénakises d’Odanak et de Wôlinak présenteront le fruit du travail qu’ils ont accompli au cours des dernières semaines. Sous le thème de la Création du monde selon les Abénakis, les spectateurs seront invités à découvrir également l’importance de la famille ainsi que les différentes phases d’apprentissage et de transmission de la culture abénakise entre les générations. Se déroulant en deux temps, l’ouverture des portes ainsi que l’exposition aura lieu dès 17h30 tandis que le spectacle débutera à 19h. Comme le mentionne Mathieu O’Bomsawin, coresponsable du Spectacle W, « Cela fait plus de dix ans que notre équipe travaille de concert avec les gens de la communauté pour créer des événements culturels visant à célébrer et mettre en valeur notre Nation sous toutes ses formes. Le spectacle W est une occasion tant pour les gens de nos communautés que pour l’ensemble des collectivités de la région à venir célébrer notre fierté et notre identité ! »

« Le spectacle W est une superbe occasion de célébrer la Nation Abénakise à travers les générations et la culture. Les gens des communautés se sont engagés activement dans la création et la présentation de ce spectacle. J’invite tous les gens de la région à venir à notre rencontre le 27 mai prochain, ce sera un plaisir de vous accueillir et de vous transmettre notre fierté », souligne Julie Cleary, directrice des services sociaux N8wkika du Grand Conseil de la Nation Waban-Aki.

Ce projet est une initiative des services sociaux N8wkika du Grand Conseil de la Nation Waban-Aki en collaboration avec les conseils de bande d’Odanak et de Wôlinak.

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Un drapeau pour la Nation W8banaki (In French only)

Vous êtes Abénakis et souhaitez aider les Conseils d’Odanak et de W8linak ainsi que le Grand Conseil de la Nation Waban-Aki dans la création du tout nouveau drapeau représentant l’ensemble de la Nation W8banaki ? Le moment est venu !

Nous sommes à la recherche de suggestions de concepts visuels qui nous permettront d’afficher fièrement nos couleurs et d’affirmer notre appartenance en tant que Nation.

Pour connaître les exigences et les critères d’admissibilité reliés au projet ainsi que la façon de nous faire parvenir votre proposition visuelle, rendez-vous ici.

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Enraciner la collaboration

Au cours des dernières années, le Grand Conseil de la Nation Waban-Aki a accueilli plus de 15 stagiaires issus des programmes de baccalauréat en génie civil et du bâtiment ainsi que de la maîtrise en environnement.
Au cours des dernières années, le Grand Conseil de la Nation Waban-Aki a accueilli plus de 15 stagiaires issus des programmes de baccalauréat en génie civil et du bâtiment ainsi que de la maîtrise en environnement.
Photo : Pascal Morin – UdeS

Miser sur ce qui unit plutôt que sur ce qui différencie. Préférer la collaboration à la division. Voilà la recette derrière le succès du Grand Conseil de la Nation Waban-Aki (GCNWA), organisme de représentation, de développement et d’administration des bandes abénakises d’Odanak et de Wôlinak en Mauricie. Un succès auquel les stagiaires coopératifs de l’Université de Sherbrooke ont la chance de participer.

Le GCNWA, plus grand employeur abénakis au Canada, offre notamment une expertise et des services techniques aux Conseils de bande qu’il dessert (ingénierie, architecture, mécanique du bâtiment, entretien, gestion des urgence et sécurité publique, etc.). Au cours des dernières années, l’organisme a accueilli plus de 15 stagiaires issus des programmes de baccalauréat en génie civil et du bâtiment ainsi que de la maîtrise en environnement. Une façon de recruter de nouveaux talents, certes, mais aussi de permettre à ces jeunes de vivre une expérience réflexive et de collaboration avec les Premiers Peuples, indique son directeur général, Denys Bernard.

« Nous vivons tous sur le même territoire. Pourquoi ne pas trouver nos points et objectifs communs pour ensuite travailler ensemble à les réaliser? C’est le discours que nous tenons auprès de tous les intervenants », raconte le directeur général du GCNWA, qui emploie près de 95 personnes, dont une trentaine directement issues des communautés autochtones.

Denys Bernard, directeur général du Grand Conseil de la Nation Waban-Aki.
Denys Bernard, directeur général du Grand Conseil de la Nation Waban-Aki.
Photo : Pascal Morin – UdeS

Ensemble, nous sommes toujours plus forts, enchaîne celui qui est aussi diplômé en géographie physique à l’UdeS. Pour nous, le plus gratifiant, c’est de voir qu’après leur séjour chez nous, les stagiaires nous remercient de les avoir aidés à se développer professionnellement et de leur avoir montré la force de la collaboration ainsi que la belle culture abénaquise.

Contribuer à améliorer les choses

Étudiant au baccalauréat en génie du bâtiment, Raphaël Rocheleau a beaucoup apprécié avoir un impact sur le milieu de vie de certaines communautés autochtones.
Étudiant au baccalauréat en génie du bâtiment, Raphaël Rocheleau a beaucoup apprécié avoir un impact sur le milieu de vie de certaines communautés autochtones.
Photo : Fournie

Originaire de Yamachiche, Raphaël Rocheleau a effectué son premier stage en génie du bâtiment au GCNWA, alors que certains lui déconseillaient de le faire, nourris par quelques préjugés tenaces lorsqu’il est question de travailler avec et pour les Premiers Peuples : gêne, peur de l’autre, fermeture, etc.

« Lorsque je disais que je m’en allais faire un stage en milieu autochtone, plusieurs personnes me disaient que ce ne serait pas facile, que les communautés ne nous laisseraient pas facilement faire notre travail, même si l’objectif était de les aider », se remémore l’étudiant de 23 ans, qui a réalisé deux autres stages depuis son passage au GNCWA.

« Le fait que le Grand Conseil serve d’intermédiaire entre les différents paliers gouvernementaux et les communautés facilite beaucoup les choses, enchaîne-t-il. J’ai d’ailleurs trouvé très intéressant que l’on embauche des travailleurs issus des différentes communautés. C’est une excellente façon de s’assurer d’une bonne collaboration. »

Contribuer à l’amélioration de la qualité de vie de la population au sein des différentes communautés a beaucoup stimulé celui qui aussi appris à mieux connaître les enjeux et à augmenter sa sensibilité aux réalités sociales, géographiques et culturelles des peuples autochtones.

J’ai eu la chance de me rendre dans certaines communautés avec un ingénieur d’expérience qui connaissait bien les coutumes autochtones ainsi que les sujets plus sensibles avec lesquels naviguer avec doigté, raconte Raphaël. Au final, nous avons été bien accueillis partout où j’ai passé.

« Nous étions là pour aider les familles à améliorer leur milieu de vie. J’ai beaucoup apprécié avoir ce type d’impact dans mon stage », termine-t-il.

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Chiefs of eight First Nations denounce how important the protection of First Nations’ rights and interests remains with regards to listing the Black Ash under the Species at Risk Act

Chiefs of Odanak, W8linak, Kahnawà:ke, Wendake, Gespeg, Gesgapegiaq, Essipit and Long Point First Nations signed a letter addressed to Steven Guilbeault, Minister of Environment and Climate Change Canada (MELCCC), and to Marc Miller, Minister of Crown–Indigenous Relations Canada. The letter denounces how important the protection of First Nations’ rights and interests remains with regards to listing the Black Ash under the Species at Risk Act (SARA).

During November of 2018, the Committee on the Status of Endangered Wildlife in Canada (COSEWIC) completed an assessment of the state of the Black Ash population across the country. The COSEWIC suggested to list the species as endangered, using the rationale that the emerald ash borer, a species of invasive beetle, decimated a substantial proportion of Black ash across its distribution area in Canada.

Following the assessment completed by the COSEWIC, the MELCCC initiated a consultation process focused on the potential listing of the Black ash as an endangered species to Schedule 1 of the SARA. This process allowed for a deeper understanding of socio-economic and cultural matters that would result from the suggested listing. The MELCCC will then have to forward his recommended course of action to the governor in council.

With regards to this consultation, the signatory Chiefs remain adamant: the Black Ash is a highly significant species on cultural, spiritual, and socio-economic levels for several First Nations across Quebec. Listing the Black Ash under the SARA would result in several prohibitions, the latter of which may have serious consequences on traditional activities that are closely connected to the species. Intergenerational transmission, along with the continuity in traditional practices might be called into question.

According to Chief O’Bomsawin: “Black ash and our baskets have always been at the center of our culture. Basketry is our way of life that, this is what is at stake here”.
Chef Montour: “Imposing restrictions on Indigenous basket makers will not have the effect of reducing the decline of the black ash tree. This decline is caused by an invasive insect, and not by the Indigenous Peoples who have been sustainably harvesting the black ash tree for generations. Restrictions will however result in impacts to Indigenous rights and the loss of important cultural practices.”

Facing such findings, signatory chiefs demand that agreements be signed with First Nations, upstream of the Minister’s final decision, to allow for the protection of rights and interests. If no measures are taken to protect such rights and interests, the chiefs recommend that the Black Ash must not be listed under the SARA.

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To read the letter sent to the ministers, click here.

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Les artéfacts trouvés à la place d’Armes remis à la Société d’histoire (In French only)

La Ville de Drummondville a confié à la Société d’histoire de Drummond plus de 780 objets et fragments trouvés par le Grand Conseil de la Nation Waban-aki lors des fouilles archéologiques tenues l’automne dernier, au stationnement de la place d’Armes. Ces fouilles ont permis de confirmer que l’endroit est l’un des lieux de fondation de Drummondville.

En effet, neuf sondages aléatoires ont été réalisés dans ce secteur du centre-ville, considéré à fort potentiel. Ceux-ci ont révélé la présence d’un site archéologique qui a été déclaré au ministère de la Culture et des Communications. Ce site historique porte le nom de Naskategwaniganek (BlFc-3), qui signifie « au portage serpentin », le toponyme de Drummondville en aln8ba8dawaw8gan.

« Les recherches ont porté fruit et j’en suis très heureuse. Ces nombreuses découvertes nous permettent de renouer avec nos racines et d’en apprendre un peu plus sur notre histoire. De plus, je suis très fière de notre collaboration avec le Grand Conseil de la Nation Waban-aki, et de l’héritage autochtone qui s’illustre à travers le nom du site historique », a mentionné Stéphanie Lacoste, mairesse de la Ville de Drummondville.

Artéfacts du XIXe siècle

Tous les sondages réalisés à la place d’Armes ont révélé la présence de matériel archéologique enfoui sous le stationnement. Ces objets et fragments témoignent principalement de l’occupation des lieux à la fin du XIXe siècle et tout au long du XXe siècle.

Un encrier datant du XIXe siècle en relativement bon état fait partie des découvertes, possiblement en lien avec la présence de casernes à la place d’Armes. L’histoire montre qu’une de ces casernes a été utilisée comme école par le passé. Pipe en terre cuite fine blanche, terre cuite fine blanche avec motifs, clous et briques sont aussi des exemples de fragments découverts.

Situé au cœur du centre-ville, rappelons que le stationnement public de la place d’Armes est aménagé comme son nom l’indique sur le site de l’ancien champ de manœuvres militaires de la colonie dont l’occupation permanente remonte au début du XIXe siècle, à l’époque de la fondation de la colonie de la rivière Saint-François, dont le chef-lieu sera nommé Drummondville.

Des travaux confiés au Grand Conseil de la Nation Waban-Aki

La Ville de Drummondville a procédé à des travaux d’archéologie dans le cadre d’un projet de caractérisation du stationnement de la place d’Armes à la suite d’une étude de potentiel archéologique réalisée en 2016. Ces fouilles visaient à localiser et à documenter les occupations antérieures du site. Elles se sont déroulées du 20 septembre au 1er octobre dernier.

En regard à l’occupation passée et présente du territoire par les peuples autochtones, la Ville a confié ses travaux de recherches archéologiques au Bureau du Ndakina du Grand Conseil de la Nation Waban-Aki, dont l’expertise est reconnue.

Pour en savoir davantage sur ces fouilles, les citoyennes et les citoyens sont invités à visiter le site drummondville.ca/archeologie

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Inauguration officielle du Grand Royal Wôlinak

Le GCNWA est honoré d’avoir pu soutenir le Conseil des Abénakis de Wôlinak et Le Grand Royal Wôlinak lors de l’inauguration officielle de leur centre de divertissement. Nous tenons à souligner tout le travail qui se cache derrière la réalisation de ce projet d’envergure qui fera sans aucun doute rayonner la communauté de Wôlinak, mais aussi Bécancour et même le Centre-du-Québec.

L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est IMG_7542.jpg.
De gauche à droite : Denys Bernard, directeur général du GCNWA, Jean Lamarche, maire de la Ville de Trois-Rivières, Dave Bernard, directeur général du Conseil des Abénakis de Wôlinak, Michel R. Bernard, Chef du Conseil des Abénakis de Wôlinak, Marie Silva, conjointe de monsieur R. Bernard, Marianne Méthot, directrice de cabinet à la Ville de Trois-Rivières, Jean Poliquin, président de la Société du parc industriel et portuaire de Bécancour, Maurice Richard, président-directeur général du Parc industriel et portuaire de Bécancour, Nikita Zewski, ajointe de direction générale et directrice des communications au GCNWA et Gaétan Boivin, président-directeur général du Port de Trois-Rivières.