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Partenariat entre le Musée des Abénakis et la Maison Merry de Magog (In French only)

L’entente a été signée en présence de Denyse Desjardins (Maison Merry), Geneviève Treyvaud (Grand conseil de la Nation Waban-Aki), Patricia Lachapelle (Musée des Abénakis), Sophie Charbonneau (Maison Merry), Suzie O’Bomsawin (Grand conseil de de la Nation Waban-Aki), Geneviève Dorion Bélisle (Maison Merry) et Vicky Desfossés-Bégin (Musée des Abénakis).

L’équipe de la Maison Merry de Magog a conclu une entente avec le Grand conseil de la Nation Waban-Aki et le Musée des Abénakis, le 20 novembre dernier, concernant sa prochaine exposition temporaire.

Celle-ci sera consacrée à la nation abénakise et sera inaugurée au printemps 2020.

Il faudra environ deux ans pour le mettre sur pied puisque les partenaires seront impliqués dans toutes les étapes du processus, dont la recherche, l’élaboration du concept, la scénarisation, le design et la rédaction des textes.

« Nous souhaitons mettre en valeur la contribution de la nation abénakise à l’histoire de Magog », affirme la directrice générale de la Maison Merry, Sophie Charbonneau. Cette dernière explique que les Cantons-de-l’Est font partie du territoire ancestral de ce peuple. Les fouilles archéologiques sur le site de la Maison Merry en 2013, 2015 et 2017 ont mis à jour plusieurs artefacts témoignant de la présence autochtone à Magog. Cet emplacement, situé à l’intersection des rues Principale Ouest et Merry Nord, se révèle comme un endroit de choix pendant des milliers d’années pour les Autochtones sur la route menant du Nord au Sud.

Source: Le Courrier Sud 

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UN MARCHÉ DE NOËL AU MUSÉE DES ABÉNAKIS (In French only)

Un tout premier marché de Noël autochtone prendra place au Musée des Abénakis le 24 novembre. Ce marché mettra en vedette les artisans et artistes d’Odanak et d’ailleurs.

Ceux-ci proposeront des cadeaux de toutes sortes, comme des paniers, des tambours, des bijoux, des mocassins, des dessins au graphite et plus encore. C’est à découvrir le 24 novembre de 12h à 17h au 108, Waban-Aki, à Odanak.

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Un jardin en l’honneur des Abénakis (In French only)

Saviez-vous que bien avant sa fondation, les terres qui constituent la municipalité de Richelieu faisaient partie du territoire traditionnel des Abénakis? Dans le cadre des célébrations de son 150e anniversaire, la Ville de Richelieu a tenu à souligner cette présence en inaugurant son Jardin des Abénakis, en présence de monsieur Jacques T. Watso, membre du Grand Conseil de la Nation Waban-Aki, à la halte routière de Richelieu, le 6 octobre dernier.

Le commerce et la pêche

L’emplacement de ce nouvel aménagement a été choisi afin de souligner l’importance de la rivière Richelieu pour les Abénakis, qui vivaient de ce côté-ci du cours d’eau. Cette situation leur permettait de traverser pour commercer aux forts Chambly et Saint-Jean ainsi qu’avec les nations autochtones situées à l’ouest du Richelieu. Le lieu est reconnu comme site de rassemblement pour les Abénakis, pour la pêche et la chasse à la sauvagine.

Des plantes comestibles

En plus d’un panneau d’interprétation, le Jardin des Abénakis consiste en un ensemble de plantes et de fleurs utilisées pour l’alimentation et l’herboristerie issues des connaissances des Premières Nations. Leur choix, ainsi que la rédaction des textes historiques, ont été réalisés en consultation avec le Grand Conseil de la Nation Waban-Aki et le Musée des Abénakis.

Pour le maire de Richelieu, monsieur Jacques Ladouceur, il s’agissait d’une démarche essentielle. « Je suis très fier de cette collaboration. Il était impensable pour nous de faire ce projet sans consulter la Nation Waban-Aki. C’est de toute façon toujours comme ça que nous travaillons. Nous l’avions aussi fait avec les organismes en début d’année de même qu’en recevant les citoyens lors d’une causerie, en mars dernier. »

3e phase du circuit patrimonial

Conçu dans le cadre du 150e anniversaire de Richelieu, le Jardin des Abénakis sera aussi intégré à la 3e phase du circuit patrimonial de Richelieu, sous la thématique « Le milieu des affaires ». Les 8 autres panneaux à venir seront dévoilés lors d’un événement, le 13 décembre prochain.

Source : http://www.chamblymatin.com/environnement/environnement/un-jardin-en-l-honneur-des-abenakis.html

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Un regard synthèse sur l’histoire de la forêt et des Abénakis de Wôlinak (In French only)

De gauche à droite: Alain O’Bomsawin, conseiller au Conseil des Abénakis d’Odanak; Daniel G. Nolett, directeur général du Conseil des Abénakis d’Odanak; Dave Bernard, directeur général du Conseil des Abénakis de Wôlinak; Pierre St-Yves, producteur-cinéaste et Mario Marchand, historien.

Le Conseil des Abénakis de Wôlinak, en association avec le Grand Conseil de la Nation Waban-Aki, ainsi que la Société du parc industriel et portuaire de Bécancour, Parcs Canada, le Secrétariat aux affaires autochtones, l’honorable Donald Martel, le CN, Culture Centre-du-Québec et les Productions HDS présentaient le tout nouveau projet de capsules vidéo historiques intitulées « Les Abénakis de Bécancour d’hier à aujourd’hui », ce vendredi 14 septembre, à la Petite Chapelle Ste-Thérèse de Wôlinak.

Depuis près de deux décennies, les Abénakis de Wôlinak sont associés à différents projets de recherches scientifiques en lien avec la mise en valeur de la culture autochtone. Tout récemment, avec la création d’un centre d’interprétation portant sur l’histoire de la mission de Bécancour et la publication du livre La forêt des deux mondes : Représentations collectives et transformation du paysage (1534-1934), le Conseil des Abénakis de Wôlinak s’est résolument inscrit dans la diffusion de son patrimoine.

Pour donner suite à ces réalisations et grâce à un financement de l’ordre de 12 000$ provenant des différents partenaires nommés précédemment, le lancement d’aujourd’hui présentait les deux premières capsules vidéo d’une série de quatre portant sur l’histoire des Autochtones de la région, en particulier celle des Abénakis de Wôlinak. Pour la réalisation de ce projet, les Abénakis ont fait appel à deux professionnels reconnus dans leur domaine respectif. Il s’agit de l’historien Mario Marchand et du producteur-cinéaste Pierre St-Yves. Outre la participation de professionnels de la culture autochtone, le documentaire met de l’avant des témoignages de membres de la communauté de Wôlinak. D’une durée totale d’environ 20 minutes, la production prend la forme de capsules vidéo, chacune d’elle portant sur un thème en particulier :

  •  Les Abénakis des premiers temps
  • Les Abénakis et les missions
  • Le troc des cultures
  • La forêt des deux mondes

Une fois l’ensemble du documentaire complété en novembre prochain, il sera possible de visionner les quatre capsules historiques en intégralité sur le web.

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Un mois de septembre rempli au Musée des Abénakis! (In French only)

Au Musée des Abénakis, le mois de septembre rime avec films, documentaires et courts métrages autochtones! En lien direct avec sa mission muséale, quatre activités de projections sont prévues en septembre afin d’engager et de permettre le développement d’un dialogue entre la culture autochtone et les visiteurs.

Ayant amorcé sa grande tournée estivale le 26 juin dernier, le Wapikoni mobile sera de passage au Musée des Abénakis le mercredi 5 septembre prochain, de 11 h à 17 h. Les visiteurs sont invités à venir découvrir des courts métrages de réalisateurs autochtones de la relève!

Les jeudi 13, 20 et 27 septembre à 19 h, il y aura des présentations extérieures de documentaires et de films autochtones. Apportez vos chaises et laissez-vous émouvoir par ces présentations! De plus, suite à ces projections, vous serez invités à échanger avec les réalisateurs ou cinéastes de ces films et documentaires percutants!

Le 13 septembre sera présenté le film « Le Dep », réalisé par Sonia Bonspille-Boileau, membre de la nation mohawk de la Confédération Haudenosaunee. Ce drame psychologique raconte l’histoire d’une jeune femme innue qui est victime d’un vol à main armée, alors qu’elle travaille dans le dépanneur de son père, dans une petite communauté autochtone. Le 20 septembre, nous découvrirons, à travers le documentaire « Ce silence qui tue », de la cinéaste abénakise Kim O’Bomsawin, la réalité troublante du silence qui entoure le phénomène des femmes autochtones assassinées ou disparues au Canada. Les projections se termineront le 27 septembre avec la présentation du documentaire « Waseskun » du réalisateur Steve Patry qui dévoile le quotidien de cet établissement de détention alternatif unique pour hommes ayant un passé trouble et violent, provenant de différentes communautés autochtones.

Ces activités sont entièrement gratuites, mais nous vous suggérons fortement de réserver votre place en communiquant rapidement avec la réception du Musée des Abénakis au 450 568-2600 ou par courriel au [email protected].